Les petits jeunes libertins

Par lebarongris

Eric avait envie de partager sa copine, Angélique. Il était déjà passé à l'acte avec deux de ses copains, mais il restait sur sa faim, et elle aussi. Son fantasme était qu'un homme mûr déprave leur couple. Voilà qui me ravissait. Nous avions donc convenu de nous retrouver avec elle dans un bar pour en parler. Elle donnerait son assentiment, ou pas, en faisant ma connaissance. Il approchait la trentaine, elle n'avait pas encore vingt ans. J'hésitais un peu, la trouvant à priori un peu jeune. Je n'ai jamais craqué pour les Lolita. En arrivant, mon appréhension s'est confirmée. Elle faisait effectivement jeunette. Mais elle était jolie, bien faite, et tout à fait charmante. Nous avons parlé de choses et d'autres, et pas mal de sexe.

Nous nous sommes quittés en convenant de nous rappeler rapidement pour dire ce qu'il en était.

Eric me rappela dès le lendemain. Ils étaient partants. Nous avons convenu d'un jour. Je suis arrivé chez eux ce soir-là, peu de temps après le dîner. Elle était très en beauté, déjà en tenue légère. Tour de cou, soutien-gorge à balconnets, bas et porte-jarretelles, escarpins. C'est ce que j'appelle savoir recevoir. Ils avaient de toute évidence envie de passer à l'acte rapidement. J'ai donc rapidement entrepris la jeune fille, mais sans précipitation. Tout en prenant un verre et devisant de choses et d'autres, j'ai passé un bras autour d'elle. Je caressais nonchalamment son corps, son visage, ses cheveux, ses épaules, ses bras, ses hanches, son ventre, ses cuisses, tout en lui déposant des petits baisers sur la bouche. Jusqu'au moment où c'est devenu un vrai baiser cochon, les langues qui se mêlent, les salives qui se mélangent. J'adore embrasser une fille. Et elles adorent comment je les embrasse.

J'ai d'abord caressé ses seins par dessus le soutien-gorge, puis les en ai sorti, les faisant ainsi jaillir avec toute la f o r c e de leur désir. Peu après je les ai totalement libérés. Lui observait ça avec attention. Je lui ai dit à quel point il avait de la chance, à quel point elle était belle. Il était assis en face de nous. J'ai alors ouvert grand les cuisses d' Elle, lui offrant le spectacle de son impudeur. Je caressais l'intérieur de ses cuisses, puis en suis venu à appréhender les délicats reliefs de son sexe à travers la soie. Quand j'ai fait glisser sa culotte sur ses cuisses, j'ai découvert son sexe épilé, à l'exception d'une petite touffe sur le haut du pubis. Tout en continuant à la caresser, sans toutefois ne serait-ce qu'effleurer son sexe, j'ai entrepris de me déshabiller, en gardant mon slip comme dernier rempart de ma vertu. Lui avait fait de même, il était en caleçon.

Enfin mes doigts se sont posés délicatement sur son sexe, tel un papillon sur une rose amoureuse. Elle mouillait abondamment. J'ai fini par introduire un doigt en elle, qui gémit et se cambra. Elle attrapa ma queue, qui sortit de mon slip, lequel glissa à terre. J'avais maintenant deux doigts qui la fouillait tandis qu'elle me branlait un peu nerveusement. Je me redressais, ma queue pointa vers le ciel. Elle plongea dessus et la goba avec avidité. Je voyais que lui bandait dur à travers son caleçon. Je tendis la main vers lui et caressa sa queue. Puis lui intima de venir contempler sa copine me sucer en gros plan. Il avait son visage tout près du sien. A un moment, j'ai orienté ma queue vers lui, et tout naturellement il la prit en bouche. Elle le regarda me sucer avec la plus grande excitation. Un instant plus tard, ils se partageaient ma queue à tour de rôle. Je la doigtais, je le branlais.

Puis je me recouvris d'une capote. Elle savait que j'allais maintenant la baiser. Il observait le spectacle. Je suis rentré en elle, et j'ai commencé à la pistonner. Je l'ai ensuite retournée, et elle s'est penchée pour le sucer pendant que je la prenais en levrette. Je me suis retiré d'elle et ai demandé à lui de la prendre à son tour. Pendant qu'il l'enfilait, j'ai caressé ses fesses et ses couilles. Je suis allé chercher du gel. Je l'ai écarté d'elle, et j'ai commencé à travailler le petit trou de mademoiselle. Il me déclara qu'elle n'aimait pas ça, qu'il n'était jamais parvenu à la prendre par là. Pourtant quelques minutes plus tard, elle était bel et bien enculée pour la première fois de sa vie.

Tout excité, je laissais la place à Eric qui se délecta de la croupe de sa princesse. Nous avons entretenu cette relation pendant plusieurs mois, à raison de deux ou trois rencontres par mois. Puis ils se sont séparés. Angélique m'a alors proposé de la voir seule, mais ça ne me semblait plus pareil et j'ai donc refusé. Eric ne m'a jamais recontacté.